Le film retrace les aventures de Gustave H, l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa, son allié le plus fidèle.
La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.
Je dois vous avouer quelque chose et je sais, qu’au fond de lui-même, chaque blogueur comprendra ma souffrance. J’ai déjà écris un article sur ce film. J’y avais mis toute mon âme, je l’avais relu, corrigé, j’avais repris certains passage. Et… C’est à ce moment là, que j’ai malencontreusement cliqué sur « supprimer »…et j’ai supprimé l’article. Non, ne pleure pas lecteur. Nous devons tous passer par là un jour ou l’autre. L’erreur est humaine et je saurais me reprendre de ce drame.
Voilà pourquoi, de nouveau. J’écris cet article. Néanmoins, plus ou moins une semaine est passée depuis que j’ai vu ce film et je ne me souviens pas de tout ce que j’avais ressenti. Je me baserais donc sur mes souvenirs
Pour commencer, je trouve que, qu’on aime ou non le scénario, le premier sentiment qu’on peut éprouver en voyant ce film, c’est de l’admiration pour les détails esthétiques. Dès le début, ce film vous enchante par le festival de décors, de costumes, de personnages charismatiques. Chaque pièce du Grand Budapest Hotel a son « petit truc » qui nous fait tomber sous son charme, et cela, avant même qu’on soit rentré dans l’histoire. Tout ça sert à mettre en scène l’univers loufoque de Wes Anderson. Le film a un côté onirique qui nous permet de regarder les scènes les plus ragoutantes – genre, des doigts coupés dans une porte – sans même y penser.
On vole d’une scène à l’autre, d’un personnage à l’autre, comme une énorme valse. Le film se pose sur un contexte historique qui fait tout le temps mouche: la seconde guerre mondiale. Mais il ne se contente pas d’être beau et au contraire, nous sert aussi un scénario de choix. Finalement, l’histoire est assez simple, mais fonctionne sans problème et on se laisse prendre au jeu. Et en parlant de jeu, dois-je réellement parler des acteurs ? Ralph Fiennes, Mathieu Almaric, Jude Law, Adrien Brody et bien sûr: Tony Revolori. Un sans faute je dirais ? J’ai adoré le regard doux et perçant à la fois de Tony Revolori. Pour être honnête je ne connaissais pas cet acteur mais je pense que c’est le genre qu’on doit garder à l’oeil.
Finalement, on jongle entre le comique, le suspens et l’émerveillement devant de tels paysages.
Alors que vous dire de plus à part que c’est un film à voir ? Et même à revoir.
Vu et revu, j’aime beaucoup!
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L’univers de Wes Anderson… ❤
Et je compatis, en tant que blogueuse fort maladroite, pour ta mésaventure…
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Merci :’)
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Ah j’avais adoré lors de la sortie ciné 🙂
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